Par Par Tehana Lemaire O’Brien, élève de l’école Secondaire de Nelson, article écrit durant le cours
d’Éducation au choix de carrière et vie en décembre 2023, édité par l’AFKO.
Galadriel Watson est une écrivaine de la petite ville de Nakusp. L’’autrice écrit depuis des années pour des journaux universitaires et des magazines. Elle a écrit pour le Washington Post et même pour le New
York Times. Galadriel cherche à inspirer et à partager de la créativité à travers ses mots et son art. Bien qu’elle ait rencontré quelques difficultés, la vie a trouvé le moyen de lui offrir d’excellentes opportunités.
Tout au long de son parcours d’écrivaine, Galadriel a découvert que si l’on écrit quelque chose qui
nous amuse et qui n’est pas trop rigide, on peut finir par faire quelque chose de grand.
«Je ne me préoccupe pas vraiment du sujet, j’aime juste le rendre vivant et attrayant et peindre une
image avec mes mots. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’aime vraiment écrire pour les enfants,
parce qu’on peut vraiment s’amuser avec ça».
Son parcours à travers l'écriture
«Galadriel est née à Jasper et elle a grandi à Calgary jusqu’en 6e année. Ensuite, elle a vécu à Montréal jusqu’à la fin de son premier diplôme universitaire. L’autrice a aussi un passé francophone : en suivant plusieurs cours, en étudiant au CEGEP pour une année et en travaillant un été à Paris.
Galadriel écrit depuis toujours mais sa carrière a commencé lorsqu’elle étudiait à l’Université McGill en commerce et marketing. Elle dit avoir beaucoup aimé l’aspect « écriture » des études et que peu importe ce qu’elle écrivait, elle célébrait le produit final. Au secondaire, Galadriel ne s’imaginait pas
être écrivaine, mais elle appréciait ses cours d’anglais et les devoirs qui en découlaient. Galadriel est allée à l’Université de Victoria pour obtenir un autre diplôme: en écriture. Sa première publication était en tant que bénévole pour le journal d’une université. Elle n’était pas étudiante à ce moment mais ils
ont accepté son article avec plaisir.
À partir de ce moment, elle a commencé à travailler bénévolement pour d’autres journaux, dans des endroits différents et c’est en quelque sorte ce qui l’a lancée. Lorsqu’on écrit, il faut surmonter des difficultés. À chaque fois que Galadriel a du mal à trouver le sujet ou l’idée pour son prochain article,
elle a réussi à s’en sortir. Pendant de sa carrière, Galadriel a posé sa candidature pour un poste d’éditrice, mais elle a été rejetée. Elle était loin de se douter que la vie était sur le point de lui offrir quelque chose d’encore mieux: «C’est ma devise dans la vie : on ne sait jamais ce qui peut arriver. Alors continuez toujours à essayer et à envoyer votre travail. Vous pouvez commencer avec un petit journal étudiant, et ensuite vous écrivez pour le New York Times».
Le côté artistique
Galadriel n’est pas seulement une autrice fantastique. Elle est aussi une artiste inspirante, une contributrice à la communauté francophone et une personne exceptionnelle. Au fil des ans, Galadriel a découvert que l’art était un moyen de peindre ses mots et d’être créative. Elle prend son inspiration
dans des domaines aussi variés que le style art déco, le pop art, la typographie, les affiches anciennes, les graffitis, les fresques murales et bien d’autres formes d’arts. L’art est vraiment un moyen extraordinaire de partager avec la communauté. Galadriel aime transmettre sa créativité dans tous les projets qu’elle réalise.
